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A coeur ouvert

29 décembre 2007

DEUIL D'UN AMOUR IMPOSSIBLE

Je remercie toutes ses mains tendues qui m'ont soutenu dans cette terrible épreuve , mon adorable colombe d'Antiflirt, Dan qui a été la clef de la porte de la vérité, et surtout à l'electrochoc de Bernard64 qui m'a  dirrigé vers le site traitant de la "perversion narcissique".

Je ne suis pas médecin pour diagnotiquer que la personne que j'ai aimé souffre de perversion narcissique mais au cours de mes différentes lectures, les troubles dont présente le narcissique pervers s'y rapproche.

Je souhaite qu'à la lecture des informations recueillies ci après, vous aurez une autre vision de celui dont ce blog est dédié. (Je le surnommerai l'enjoliveur suite à un lapsus sur le mot enjôleur) et que votre empathie à son égard vous permette de ne pas rajouter de l'eau à son moulin.

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29 décembre 2007

LE POIDS DU PASSE

ON NE CROIT JAMAIS ce que disent les enfants : ils inventent, ils fabulent ou ils fantasment. Quand une petite fille raconte les "avances" d'un de ses proches, comme on a du mal à l'entendre, on préfère ne pas la croire. Et les accusés deviennent très rapidement des victimes et les victimes des accusateurs.

C'est un cri maintes fois répété qui aurait envie d'être un hurlement pour la terre entière et qui, devant la surdité des parents, des hommes devient un gémissement, une longue plainte solitaire, des sanglots, des pleurs qui finiront sans doute jamais par s'assécher : ce qu’a vécu cette petite fille n’a pu être noyé dans l’océan de larmes versées. Petite fille exilée de son enfance avant d'être interdite de vie et d’amour.

Le beau monde que celui des hommes, le terrible monde ! Et leurs mains... Les mains des hommes, celles qui vous touchent, qui vous palpent, qui vous fouillent, sans délicatesse, avec brutalité. Bizarre engeance que l'espèce humaine, qui peut se servir de ses mains pour accomplir souvent bien de jolies œuvres.

C'est le le calvaire d'une enfant, raconté de manière parfois éclatée. Les souvenirs reviennent par bouffées douloureuses, se bousculent, se chevauchent. C'est l'histoire d'une longue souffrance qui ne parvient pas à être calmée.

Elle a cru que l’amour qui pour elle est la plus grande valeur sur terre, la sauvera. Mais, …….. Son passé la poursuit, et son rêve du prince charmant s’envolera à jamais, elle sera malmenée, mal aimée et mal baisée, réduite à nouveau à un seul objet de convoitise sexuelle. Jamais, elle ne pourra s’abandonner avec confiance à un homme. Ceux qu’elle a connus, ont toujours fini par la trahir….

Le prix de l’Amour, c’est seulement Amour, il faut aimer si l’on veut être aimé….

Elle porte en prénom l’anagramme du verbe aimer, et elle sait pertinemment qu’elle est condamnée à porter sa croix.

Démunie, solitaire, désespérée, ne trouvant aucun secours sur cette terre, elle est donc maudite ! Ce qui lui arrive est mérité puisque personne n’a pu l’aider…. Ce qu’on lui a fait, elle l'a tu et enfoui au plus profond d’elle, elle se console en se préoccupant des plus démunis….. Ses misères sont infimes comparées à celles d’autrui…. Petit grain de sable, semblable, infime, quelconque, insoupçonnable … Son histoire est banale, une parmi tant d’autres,…. récit d’un fardeau qu’elle portera jusqu’à la fin de sa propre histoire. Seule la mort l’en délivrera !

Nouveau coup de poignard....la revoila plongée dans l'obscurité et le passé la submerge de nouveau, l'asphyxiant de jour en jour....son âme cherche refuge....un terrible combat se livre à nouveau en elle confrontant à nouveau ses valeurs de coeur et les coups infligés....elle cherche une bouée desespéremment mais elle se noie dans le flot de larmes versées, se laissant emportée par le courant de cette gangue mortelle qui se propage en elle.....

29 décembre 2007

DES MOTS POUR MES MAUX... cette lettre ne lui est pas parvenue

C’est le Noël le plus pluvieux de mon existence !

Les larmes ne cessent de couler depuis que je SAIS !

La vérité n’est pas amusante, sans cela tout le monde la dirait et surtout pas toi !

Que vas tu faire maintenant ? Fuir comme à ton habituel, me traiter de menteuse ou me salir sur le salon afin de plaider ta cause et que la victime se retrouve aux bancs des accusés… J’ai déjà connu cela petite et j’ai appris à me taire..

Mais j’ai grandi depuis et cette fois, je ne me tairais et ne fuierai pas ! je veux faire front à cette face que tu m’as cachée, « cette face détestable » comme tu dis…

J’ai aimé de tout mon cœur et de toute mon âme, un homme de ta pure fiction et une partie de lui continue à me consumer…. Il restera gravé à jamais dans ma mémoire alourdissant le fardeau déjà présent. Tu as abusé de mes naïveté et fragilité et tu t’es servi de mes sentiments pour arriver à tes fins. Comment appelles tu ce type d’individu ? N’est ce pas une question à laquelle j’avais dû répondre à l’époque de tes joutes oratoires avec ton ex Noctuelle ?

Tout se sait tôt ou tard !

et là je SAIS que c’est toi, qui a été ignoble avec ton ex, elle t’aimait mais ton orgueil n’a pas supporté que ce soit elle qui mette fin à votre relation. Or, « c’est toi qui décide quand commence et finit une relation » ce sont tes propres écrits lors d’une de nos douloureuses discussions… Si ce n’est pas de l’orgueil çà ! C’est quoi ? Tu as toujours su trouvé des excuses à ce sujet mais là avoue que tu auras du mal.

Je comprends mieux ces nombreux silences et tes réapparitions soudaines… Tu jouais sur deux tableaux, ou peut être plusieurs… une femme dans chaque port, facile avec le métier que tu mènes (chauffeur-livreur). Nos deux histoires (ta liaison avec Noctuelle et la mienne) se sont imbriquées l’une dans l’autre… tu en quittais une pour retrouver l’autre… Et tu criais haut et fort que tu n’as jamais dragué… Non le terme est inadéquat… tu séduis avec les mots ; ta grande capacité d’écoute et sens de l’observation te permettent d’emballer la plus récalcitrante des femmes. Oh oui, tu sais y faire ! Et j’ai succombé comme combien d’autres à tes récits sur ton enfance malheureuse, tes déboires et réussites de tes enfants, ton amour et fierté des tiens, et à tes fantômes qui grignotent davantage tes nuits de sommeil…. Ta méfiance des femmes suite à tes différents échecs et ta résignation à ta vie de célibat.

Tu me paraissais différent, particulier mais différent des hommes rencontrés… moi si méfiante de la gente masculine par rapport à mes affres du passé, j’ai été séduite par tes propos. Comment arrives tu à te regarder dans une glace ?

J’aurai pu donné ma vie pour toi tant tu comptais pour moi, tant ton bonheur passait avant le mien… Que tu ne partages pas mes sentiments, j’aurai pu le comprendre et m’éloigner si tu avais eu le cran de me freiner et me dire que je faisais fausse route… Il était sans doute flatteur qu’une dame de 43 ans s’entiche d’un monsieur de 57 ans et il lui était amusant de jouer de sa crédulité et de s’en resservir quand une autre conquête l’avait blasé.

«  Les femmes sont pour toi comme les odeurs de cuisine, appétissantes quand tu as faim et repoussantes une fois rassasié ! »

C’est dans ta culture de traiter les femmes de cette manière ? Est ce une manière d’effacer ou d’atténuer les souffrances de l’enfance au souvenir du martyr de ta maman ?

Il y a assez de femmes disposées à satisfaire la libido débordante de certains hommes… mais non c’est un réel défi que de faire céder la plus tenace ou réfractaire.

Tu agis si sournoisement avec tant de perfidie, qu’une fois ton plaisir obtenu et que tu t’en éloignes, elle se retrouve, culpabilisant, avec ses mouchoirs pour essuyer cet amour de location… Tu ne promets rien, ou si promesse il y a, tu ne les tiens pas, tu n’envisages rien… Dès que ta proie se défile, hop ! tu uses de ton langage précieux et revoilà la belle dans tes bras… tu es un champion, oui ! et à cet effet , je vais te faire forger deux médailles, une du meilleur enjôleur et la deuxième c’est au cas où tu perdrais la première. Tu aimes être admiré et brillé … surtout sur les salons mais je ne te donnerai pas l’occasion de briller avec notre pitoyable histoire… Ne te fatigue pas, j’en ai fait un livre avec comme couverture ta plus belle photo et tes croustillants agissements comme contenu.

Deux ans de gâchis à attendre une idylle où j’ai fini par me résigner à enfouir mes sentiments te laissant cependant une porte ouverte vers l’amitié… Je t’ai refait confiance en septembre et j’ai accepté de t’apporter mon aide face aux brouilles rencontrées sur le net concernant Noctuelle. Quelle choc d'apprendre qu'il y avait eu cette liaison avec cette dame du net, tu ne m'en avais jamais parlé avant. Et comment pouvais je être objective dans ta quête suite à la lecture écrite à cette femme "cette femme que tu avais aimé comme aucune autre".... et moi alors? qu'ai je été donc ? Mais par amour et aussi devant ton insistance dissimulée, je suis venue sur le générique te prêter main forte et soutien. J'étais toute nouvelle, une aubaine pour toi.

Pour plaider ta cause et culpabiliser celle qui avait osé te repousser, tu n'as pas hésité à trahir l'amitié de certains users (notamment celle d'Antiflirt) en mentant sans scruplule et déversant ton vénin sur ta malheureuse compagne.

Et, tu me remercies en me bafouant… trouvant une excuse factice pour me culpabiliser. Oui, j’ai longtemps cru que j’étais responsable du manque d’harmonie dans notre liaison tant j’étais en recherche de mon identité de femme… et la honte m’a enseveli à la découverte de tes manigances, manipulations et mensonges… honte de t’avoir présenté à mes enfants et t’avoir permis de partager ma couche sous mon toit en leur présence à côté…. Tu m’as manqué de respect et mis en danger sans penser à te préserver lors de nos ébats amoureux, alors que j’avais insisté sur ce fait lors de mes confidences sur mon divorce (tu as récidivé)… tu as toujours su ce que je désirais ardemment… J’étais prête à te laisser ta liberté et à vivre une relation complice… Pour mieux m’endormir ou te fiche la paix, tu acquiesçais à me demandes et notre relation est devenue un abonnement semestriel avec des apparitions et disparitions tous les 6 mois….

As tu le cran aujourd’hui de m’affronter et de me dire en face la cruelle vérité ?

As tu seulement conscience des conséquences de tes agissements ? non aucune plainte jusqu’à ce jour , tu as toujours su t’en tirer avec de belles paroles. C’est certain aucune promesse, tu fais celui qui ne comprend pas et change vite de sujet quand on aborde celui des sentiments. Mais ton ignorance et tes silences sont pires qu’une gifletu prends, tu jettes et après tu fais payer.

Toutes celles qui sont passées dans tes bras sont donc des dames de petites vertus comme tu t’aies évertué à calomnier celle de Noctuelle en la piégeant soit disant dans ses pv, ou en critiquant celles tombées sous ton charme (Mila, Sandrine36, Marie-untel …..la dernière en date Mé....?)

Tu es le deuxième amant que j’ai eu dans ma vie et que j’ai aimé… je voulais réapprendre à aimer avec toi, être une femme à part entière en luttant contre mes démons… Tu n’as fait que les ressuciter… Et il se livre en moi, un terrible combat.. celui d’une femme bafouée, ayant perdu sa fierté et anéantie par tant de mesquinerie et d’incompréhension… je m’enfonce davantage vers l’obscurité cherchant désespéremment la lumière… Je m’accroche aux mains tendues rencontrées sur le salon… mais on ne peut imaginer le poids que je traîne depuis ma plus tendre enfance… je me laisse envahir par cette gangue mortelle qui anesthésie le moindre espoir…

Que la lecture de cette lettre mette en garde toute personne ayant rencontré ce monsieur ou individu du même genre… que mon témoignage vous ouvre les yeux et vous messieurs, qu’elle vous donne à réfléchir.

                                                                                                                      CoeurdeMarie.

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